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Pourquoi ce projet ?

 

Un contexte actuel qui nous fait réagir...

 

Le projet que nous concevons s’inscrit dans la recherche de solutions qui tendent vers une agriculture viable sur le long terme.

 

Aujourd’hui, la majorité de la production mondiale est issue d’une agriculture conventionnelle, ultra-productiviste, pointée du doigt pour les effets néfastes qu’elle entraine, tant d’un point de vue environnemental que social.

Plus concrètement, cette agriculture, qui a émergé dans les années cinquante, engendre une uniformisation des territoires, une spécialisation des cultures, un appauvrissement des semences cultivées et une dévalorisation des humains.

 

De plus, nous observons un éloignement entre consommateurs et producteurs, qui se caractérise par la méconnaissance de l’origine de son alimentation et des conditions de production.

 

Ce modèle agricole et la consommation alimentaire engendrée ont aussi des conséquences sur la santé des populations...

 

 

 

 

Et pourtant, convaincus que chacun-e peut être acteur-trice d'un changement de cap !

 

Néanmoins, des mouvements refusant d’accepter une telle production existent ! Ces mouvements  dits alternatifs cherchent à instaurer une agriculture qui n’engendrerait pas les conséquences néfastes précédemment citées. Ils visent à maintenir sur les territoires une agriculture locale et de qualité.

 

C'est par ce constat que le ministère de l'agriculture français prône désormais l'agro-écologie et va même jusqu'à rependre ces pratiques dans nos salles de cours. Plusieurs témoignages de personnalités reconnues dans le monde agronomique et journalistique, comme Marie-Monique Robin, Pierre Rabhi, ou encore Claude Bourguigon voient dans l’Amérique Latine un regroupement de pays inspirants pour ce genre de mouvements.

En effet, ils semblent avoir un potentiel agricole important nourri par une diversité des cultures, des savoirs ancestraux et des pratiques innovantes.

 

Pourtant, ces terres font l’objet d’une forte pression par les industries agroalimentaires. En effet, le climat et la qualité du sol sont favorables à une majorité de cultures comme le café, le cacao, le palmier, le soja, ou encore plus récemment, le quinoa. Ces dernières pèsent donc un poids quant à la survie de la paysannerie locale et traditionnelle en Amérique latine.

Et maintenant, à nous de cultiver nos nouveaux horizons !

 

Notre projet a émergé après avoir vu la restitution d’un voyage porté sur la découverte de l’agriculture urbaine de trois étudiants.

 

Aussi, tous les trois nous étions à un moment où il nous semblait intéressant de faire une pause dans nos études pour mener un projet en parallèle et voyager.

 

Pourtant, partir à l’étranger en étant un simple touriste nous motivait peu et la rencontre, les échanges culturels avec les populations locales ne peuvent s’effectuer qu’en passant du temps sur place à partager leur quotidien.

 

C’est pourquoi nous avons fait le choix de transposer nos idées en projet concret !

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